CANTIQUE 57 

” CANTIQUE D’UN ENFANT DE MARIE ”

Titre modifié : Chanson d’un enfant de Marie

I/
              1
Divine Marie,
Vierge très accomplie,
Divine Marie,
J’aime votre beauté,
Car elle enflamme, O sainte Dame,
Toute mon âme De charité.
Mon cœur en est tout transporté.

               2
O ma bonne Mère,
Je vous aime et révère.
O ma bonne Mère,
Je vous rends tout honneur.
O ma maîtresse, votre tendresse
Nourrit sans cesse mon pauvre cœur,
De sa grâce et de sa douceur.
                  3
Que ne puis-je dire
Partout où je désire,
Que ne puis-je dire
O mortel implorez,
Sans défiance son assistance
Et sa clémence, car vous aurez
Tout ce que vous demanderez !

 

MUSIQUE

II/

              4
Venez tous entendre
Combien elle m’est tendre.
Venez tous entendre
C’est mon aide et soutien :
C ‘est ma fidèle, ma toute belle ;
Sous sa tutelle je ne crains rien.
En Marie je trouve tout bien.

PONT

 

                5
C’est par elle même
Que j’adore et que j’aime,
C’est par elle même
Que je parle au Seigneur.
Quelles richesses, quelles caresses,
Quelles tendresses à Son saint Cœur !
Oh, quand j’y suis c’est mon bonheur !
                    6
C’est mon oratoire
Où je prie avec gloire,
C’est mon oratoire
Où je suis sans refus.
C’est ma demande? C’est mon offrande;
Mais qu’on m’entende, Car je dis plus :
C’est mon cher tout envers Jésus.

Cantique originale de Saint Louis-Marie GRIGNION de MONTFORT

CANTIQUE 57 : ” CANTIQUE D’UN ENFANT DE MARIE “

              1
Divine Marie,
Vierge très accomplie,
Divine Marie,
J’aime votre beauté,
Car elle enflamme, O sainte Dame,
Toute mon âme De charité.
Mon cœur en est tout transporté.

               2
O ma bonne Mère,
Je vous aime et révère.
O ma bonne Mère,
Je vous rends tout honneur.
O ma maîtresse, votre tendresse
Nourrit sans cesse mon pauvre cœur,
De sa grâce et de sa douceur.
                  3
Que ne puis-je dire
Partout où je désire,
Que ne puis-je dire
O mortel implorez,
Sans défiance son assistance
Et sa clémence, car vous aurez
Tout ce que vous demanderez !

                4
C’est un doux asile
Très sûr et très facile,
C’est un doux asile
Où chacun vient sans peur.
L’âme affligée qui l’a trouvé
Est consolée, et le pécheur
Reçoit par elle sa faveur.

                  5
Venez tous entendre
Combien elle m’est tendre.
Venez tous entendre
C’est mon aide et soutien :
C ‘est ma fidèle, ma toute belle ;
Sous sa tutelle je ne crains rien.
En Marie je trouve tout bien.
                  6
C’est par elle même
Que j’adore et que j’aime,
C’est par elle même
Que je parle au Seigneur.
Quelles richesses, quelles caresses,
Quelles tendresses à Son saint Cœur !
Oh, quand j’y suis c’est mon bonheur !
                       7
Un humble silence
Rempli de confiance,
un humble silence
sur son sein amoureux,
Met Dieu mon Père hors de colère.
Cette prière perce les cieux
Et m’obtient tout ce que je veux.

                       8
C’est mon oratoire
Où je prie avec gloire,
C’est mon oratoire
Où je suis sans refus.
C’est ma demande? C’est mon offrande;
Mais qu’on m’entende, Car je dis plus :
C’est mon cher tout envers Jésus.
                       9
Ô ma protectrice,
Ma mère et ma nourrice,
Ô ma protectrice,
Je n’ai point de retour;
Mais qu’en ma place, chacun le fasse,
Faites, de grâce, que votre amour
Règne en tous les cœurs nuit et jour.
                       10
Soyez donc bénie,
que tout vous glorifie,
Soyez donc bénie,
En terre comme aux cieux.
Soyez louée, soyez aimée
et respectée dans ces bas lieux,
Et nous rendez tous bienheureux.

Dieu Seul